La religion sacrificielle.
Message du 26 février 2010
« La religion sacrificielle ne peut être au service de notre Seigneur Dieu : le Seigneur Absolu.
Oui, toute religion qui sacrifie l’animal pour plaire à Dieu n’est pas une religion de Lumière, mais une religion de l’obscurité. Pour retrouver la véritable Lumière, elle doit bannir définitivement le sacrifice de ses pratiques et de ses enseignements. C’est à ce titre qu’elle pourra redevenir une religion lumineuse, respectueuse de la vie et respectée de tous.
Dieu n’a jamais demandé à quiconque de sacrifier l’animal en le faisant atrocement souffrir. Non ! Dieu n’a jamais demandé et ne demandera jamais ce sacrifice.
Le message divin qu'Abraham a reçu n'était qu'un faux message. Abraham a manqué de discernement.
L’animal qui vit sur la Terre a la même origine que l’humain, la même source, la même provenance. Oui, l’animal contient, lui aussi, la divinité en son âme. Mais l’animal est dépourvu de conscience. Il a toujours agi par instinct.
Les religions qui sacrifient les animaux sont de fausses religions. Elles n’ont pas le droit de pratiquer ce rituel ignoble, ridicule et totalement dépassé.
Le prosélytisme auquel vous assistez actuellement, la propagande religieuse – toutes sectes confondues – sont dangereux pour l’équilibre de la paix. N’en doutez pas une seule seconde : vous allez tout droit vers un conflit culturel et religieux qui se manifeste déjà.
Certains espèrent retourner le sens de l’histoire catholique et chrétienne de votre pays, et des nations qui ont la même histoire. Beaucoup sont à l’affût et ne disent mot. Ils attendent dans l’ombre pour voir tranquillement se dérouler les choses. Mais ils espèrent secrètement que la chrétienté s’écroule rapidement.
La religion catholique est statique et trop ringarde pour oser s’opposer. Depuis combien de temps avons-nous entendu un véritable chrétien crier haut et fort que le sacrifice animal est une offense au Créateur ?
Oui, réfléchissez ! Depuis combien de temps un paria de l’Église a osé affronter les sacrificateurs ?
Un Seul l’a fait et l’a répété maintes fois. Il s’agit de Notre Seigneur Jésus. Lui seul s’est permis, avec la fougue qui lui est légendaire, de crier au scandale, au meurtre et à l’assassinat de nos frères animaux. Les autres ont été bien timides pour relayer le Seigneur, et n’ont jamais souhaiter se mettre en porte-à-faux ou en difficulté par rapport à ceux qu’ils appellent leurs frères religieux.
Oui, l’acte sacrificiel est strictement interdit. Si vous tuez l’animal pour le consommer, vous devez le respecter dans l’intégralité de sa vie : de sa naissance jusqu’à sa mort. À aucun moment, il ne doit subir le martyre, ni la souffrance. À aucun moment, il ne doit être un bouc émissaire ou un otage religieux.
Ceux qui pratiquent ce rituel ignoble et interdit, ceux qui l’encouragent – que ce soit à des fins religieuses ou commerciales – sont d’ores et déjà prévenus : qu’ils s’attendent, après leur passage dans l’autre monde, à subir la souffrance qu’ils auront infligée en connaissance de cause à l’innocent, à l’agneau, au bébé, au petit qui ne demande qu’à vivre.
À bon entendeur, salut ! Le rendez-vous est pris »
Olivier et ses amis de l’au-delà.